Invocation contre la tristesse

« Ô Allah ! Je suis Ton serviteur, fils de Ton serviteur, fils de Ta servante. Je suis sous Ton pouvoir. Ton jugement s’accomplit sur moi, Ton décret sur moi est juste. Je Te demande par tout nom qui T’appartient, par lequel Tu T’es nommé, ou que Tu as révélé dans Ton Livre ou que Tu as enseigné à l’une de Tes créatures, ou bien que Tu as gardé secret dans la science de l’inconnu, de faire en sorte que le Coran soit le printemps de mon cœur, la lumière de ma poitrine, qu’il dissipe ma tristesse et mette fin à mes soucis. »

Allâhumma innî ‘abduka bnu ‘abdika bnu amatik. Nâsiyatî bi-yadik. Mâdin fiyya hukmuk, ‘adlun fiyya qadâuk. Asaluka bi-kulli-smin huwa laka sammayta bihi nafsak, aw anzaltahu fî kitâbik, aw ‘allamtahu ahadan min khalqik, aw istatharta bihi fî ‘ilmi-l-ghaybi ‘indak, an taj’ala-l-qurâna rabî’a qalbî, wa nûra sadrî, wa jalâa huznî, wa dhihâba hammî.

Sahîh Al-Kalim At-Tayyib n°102.

Mérite

Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Pas une personne affligée par un souci ou un chagrin, ne dira : Ô Allah ! Je suis Ton serviteur, fils de Ton serviteur, fils de Ta servante… sans qu’Allah ne dissipe ce souci ou ce chagrin et ne le remplace par une joie. » On lui demanda : « Ô Messager d’Allah ! Ne devrait-on pas l’apprendre ? » Il répondit : « Bien sûr que si. Il convient que celui qui l’entend l’apprenne. »


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