Âyatu-l-Kursî
« Allah ! Point de divinité à part Lui, le Vivant, Celui qui n’a besoin de rien et dont toute chose dépend « al-Qayyûm ». Ni somnolence ni sommeil ne Le saisissent. À Lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la Terre. Qui peut intercéder auprès de Lui sans Sa permission ? Il connaît leur passé et leur futur. Et, de Sa science, ils n’embrassent que ce qu’Il veut. Son Kursî (Piédestal) déborde les cieux et la Terre et leur garde ne Lui coûte aucune peine. Et Il est le Très Haut, l’Immense. »
Sourate Al-Baqarah, verset 255
قِرَاءَةُ آيَةِ الكُرْسِيِّ
اللهُ لاَ إِلَهَ إِلاَّ هُوَ الحَيُّ القَيُّومُ لاَ تَأْخُذُهُ سِنَةٌ وَ لاَ نَوْمٌ لَهُ مَا فِي السَّمَاوَاتِ وَ مَا فِي الأَرْضِ مَنْ ذَا الَّذِي يَشْفَعُ عِنْدَهُ إِلاَّ بِإِذْنِهِ يَعْلَمُ مَا بَيْنَ أَيْدِيهِمْ وَ مَا خَلْفَهُمْ وَ لاَ يُحِيطُونَ بِشَيْءٍ مِنْ عِلْمِهِ إِلاَّ بِمَا شَاءَ وَسِعَ كُرْسِيُّهُ السَّمَاوَاتِ وَ الأَرْضَ وَ لاَ يَئُودُهُ حِفْظُهُمَا وَ هُوَ العَلَيُّ العَظِيمُ
سُورَةُ البَقَرَةِ آيَةٌ ٢٥٥
Sahîh Al-Kalim At-Tayyib n° 22.
Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) me confia la garde de la Zakât de Ramadan. [Durant la nuit], quelqu’un vint et commença à prendre de la nourriture [de cette Zakât]. Je le saisis et lui dis :
« Je vais t’emmener devant le Messager d’Allah ! ».
Il me répondit :
«Je suis pauvre ! J’ai une famille [à charge] et je suis vraiment dans le besoin ! »
Je le laissai alors partir.
Le lendemain matin, le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) me demanda :
« Ô Abû Hurayrah ! Qu’a fait ton prisonnier la nuit dernière ? »
Je lui répondis :
« Il s’est plaint d’une grande pauvreté et d’une famille à nourrir. J’ai eu alors pitié de lui et je l’ai laissé partir ».
Il me dit alors :
« Très certainement, il t’a menti. Et il reviendra !» Je fus alors certain qu’il reviendrait, car le Prophète (صلى الله عليه وسلم) l’avait dit. Je décidai donc de le guetter…
Et en effet il revint. Et comme il s’apprêtait à prendre une poignée de nourriture [de la Zakât], je le saisis et lui dis :
« Je vais te conduire devant le Messager d’Allah »
Il me répondit :
«Je suis pauvre ! J’ai une famille [à charge] et je suis vraiment dans le besoin ! »
Je le laissai alors partir à nouveau.
Le lendemain matin, le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) me demanda :
« Ô Abû Hurayrah ! Qu’a fait ton prisonnier la nuit dernière ? »
Je lui répondis :
« Il s’est plaint d’une grande pauvreté et d’une famille à nourrir. J’ai eu alors pitié de lui et je l’ai laissé partir ».
Il me dit alors :
« Très certainement, il t’a menti. Et il reviendra !» Je fus alors certain qu’il reviendrait, car le Prophète (صلى الله عليه وسلم) l’avait dit. Je décidai donc de le guetter cette troisième nuit…
En effet, il revint à nouveau. Et comme il s’apprêtait à prendre une poignée de nourriture [de la Zakât], je le saisis et lui dis :
« Je vais te traduire devant le Messager d’Allah car cette fois-ci, c’est la dernière des trois fois. Tu prétends [à chaque fois] ne plus recommencer, pourtant tu recommences ! »
Il me dit alors :
« Laisse-moi t’enseigner quelques paroles qui te seront utiles par la grâce d’Allah ».
« Quelles sont-elles ? » lui demandai-je.
Il me répondit :
« Lorsque tu regagnes ta couche, récite (Âyatu-l-Kursî) du début à la fin. Allah te désignera alors un protecteur et aucun démon ne t’approchera jusqu’au matin. » Je le laissai alors partir…
Le lendemain matin, le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) me demanda :
« Ô Abû Hurayrah ! Qu’a fait ton prisonnier la nuit dernière ? »
Je lui répondis :
« Ô Messager d’Allah ! Il a prétendu m’enseigner quelques paroles qu’Allah rendrait utiles pour moi ; alors je l’ai laissé partir. »
« Quelles sont ces paroles ? » Me demanda-t-il.
Je répondis :
« Il m’a dit : Lorsque tu regagnes ta couche, récite (Âyatu-l-Kursî) du début à la fin. Allah te désignera alors un protecteur et aucun démon ne t’approchera jusqu’au matin. » (Les Compagnons étaient ceux qui aspiraient le plus au bien.)
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) me dit :
« Certes, il t’a dit la vérité bien qu’il soit un grand menteur ! Ô Abou Hourayrah ! Sais-tu à qui tu as parlé durant trois nuits ? »
« Non ! » Répondis-je.
« Il s’agissait d’un diable ! » Reprit-il.
« Je demande pardon à Allah. » (100 fois)
« Gloire et pureté à Allah. » (100 fois)
« Louange à Allah. » (100 fois)
« Allah est le Plus Grand. » (100 fois)
« Il n’y a aucune divinité [digne d’être adorée] en dehors d’Allah, Seul, sans associé. À Lui la royauté, à Lui la louange et Il est capable de toute chose. » (100 fois).
أَسْتَغْفِرُ اللهَ (مئَةَ مَرَّةٍ)
سُبْحَانَ اللهِ (مئَةَ مَرَّةٍ)
الحَمْدُ للهِ (مئَةَ مَرَّةٍ)
اللهُ أَكْبَرُ (مئَةَ مَرَّةٍ)
لاَ إِلَهَ إِلاَّ اللهُ، وَحْدَهُ لاَشَرِيكَ لَهُ، لَهُ المُلْكُ وَ لَهُ الحَمْدُ وَ هُوَ عَلَى كُلِّ شَيْءٍ قَدِيرٌ (مئَةَ مَرَّةٍ)
Astaghfiru-llâh.
Subhâna-llâh.
Al-hamdu li-llâh.
Allâhu akbar.
Lâ ilâha illa-llâhu wahdahu lâ sharîka lah. Lahu-l-mulku wa lahu-l-hamd, wa huwa ‘alâ kulli shayin Qadîr.
As-Sahîhah n° 1600.
Sahîh At-Targhîb wa-t-Tarhîb n°658.
Mérite
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Pas une matinée ne passe sans que je ne demande pardon à Allah cent fois ».
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Celui qui dit « Gloire et pureté à Allah » cent fois avant le lever du soleil et avant son coucher, [cela] est meilleur [pour lui] que [de posséder] cent chamelles. Et celui qui dit « Louange à Allah »cent fois avant le lever du soleil et avant son coucher, [cela] est meilleur [pour lui] que [de posséder] cent chevaux chargés [pour combattre] dans le sentier d’Allah. Quand à celui qui dit « Allah est le plus Grand » cent fois avant le lever du soleil et avant son coucher, [cela] est meilleur [pour lui] que d’affranchir cent esclaves. Enfin, celui qui dit « Il n’y a aucune divinité [digne d’être adorée] en dehors d’Allah, Seul, sans associé. À Lui la royauté, à Lui la louange, et Il est capable de toute chose » cent fois avant le lever du soleil et avant son coucher, personne ne viendra au Jour de la Résurrection avec une œuvre meilleure que la sienne, sauf celui qui en aura fait autant ou plus ».
Réciter les trois dernières sourates du coran
Sourate al-Ikhlâs, al- Falaq, an-Nâs.
Sahîh At-Tirmidhî n° 3575.
Mérite
Celui qui les récitera au matin et au soir, elles lui suffiront contre tout [mal].
An-Nâs
Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux
Dis : « Je cherche protection auprès du Seigneur des hommes ۞ Le Souverain des hommes ۞ Dieu des hommes ۞ contre le mal du mauvais conseiller, furtif ۞ qui souffle le mal dans les poitrines des hommes ۞ qu’il (le conseiller) soit un djinn, ou un être humain. »
Sourate An-Nâs
(3 fois)
بِسْمِ اللهِ الرَّحْمَٰنِ الرَّحِيمِ
{قُلْ أَعُوذُ بِرَبِّ النَّاسِ ۞ مَلِكِ النَّاسِ ۞
إِلَهِ النَّاسِ ۞ مِنْ شَرِّ الْوَسْوَاسِ الْخَنَّاسِ ۞
الَّذِي يُوَسْوِسُ فِي صُدُورِ النَّاسِ ۞ مِنَ الْجِنَّةِ وَالنَّاسِ
سُورَةُ النَّاسِ
Al Falaq
Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux
Dis : « Je cherche protection auprès du Seigneur de l’aube naissante ۞ contre le mal des êtres qu’Il a créés ۞ contre le mal de l’obscurité quand elle s’approfondit ۞ contre le mal de celles qui soufflent (les sorcières) sur les nœuds ۞ et contre le mal de l’envieux quand il envie. »
Sourate Al-Falaq
(3 fois)
بِسْمِ اللهِ الرَّحْمَٰنِ الرَّحِيمِ
{قُلْ أَعُوذُ بِرَبِّ الْفَلَقِ ۞ مِنْ شَرِّ مَا خَلَقَ ۞ وَمِنْ شَرِّ غَاسِقٍ إِذَا وَقَبَ ۞ وَمِنْ شَرِّ النَّفَّاثَاتِ فِي الْعُقَدِ ۞ وَمِنْ شَرِّ حَاسِدٍ إِذَا حَسَدَ
سُورَةُ الفَلَقِ
Al Ikhlas
Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux
Dis : « Il est Allah, Unique ۞ Allah Le Seul à être imploré pour ce que nous désirons ۞ Il n’a jamais engendré et n’a pas été engendré non plus ۞ Et nul n’est égal à Lui. »
Sourate Al-‘Ikhlâs
بِسْمِ اللهِ الرَّحْمَٰنِ الرَّحِيمِ
قُلْ هُوَ اللهُ أَحَدٌ ۞ اللهُ الصَّمَدُ ۞ لَمْ يَلِدْ وَلَمْ يُولَدْ ۞ وَلَمْ يَكُنْ لَهُ كُفُوًا أَحَدٌ
سُورَةُ الإِخْلاَصِ
Sourate 112.
(3 fois)
« Je me mets sous la protection des paroles parfaites d’Allah contre le mal qu’Il a créé. » (3 fois).
أَعُوذُ بِكلِمَاتِ اللهِ التَّامَّاتِ مِنْ شَرِّ مَا خَلَقَ. (ثَلاَثاً)
A’ûdhu bi-kalimati-llâhi-t-tâmmâti min sharri mâ khalaq (3).
Sahîh Muslim n° 2709.
Mérite
D’après Abû Hurayrah, un homme vint dire au Prophète (صلى الله عليه وسلم) : « Ô Messager d’Allah ! Je n’ai pas dormi de la nuit à cause d’un scorpion qui m’a piqué ! »
Il répondit : « Si le soir venu, tu avais dit : “ Je me mets sous la protection des paroles parfaites d’Allah contre le mal qu’Il a créé. ” Il ne t’aurait fait aucun mal. ».
Et selon une version : « Celui qui le soir venu dira trois fois : “ Je me mets sous la protection des paroles parfaites d’Allah contre le mal qu’Il a créé. ” Ne lui nuira pas la piqûre de toutes bêtes vénimeuses au cours de cette nuit. »
Suhayl a dit : « Nos familles avaient appris cette invocation et la récitait chaque nuit. Un jour une de nos filles fut mordue [par un scorpion] et n’en ressentit aucune douleur. »
« Ô Allah ! C’est par Toi que nous nous retrouvons au soir et c’est par Toi que nous nous retrouvons au matin. C’est par Toi que nous vivons et c’est par Toi que nous mourons et c’est vers Toi que sera notre destinée. »
اللَّهُمَّ بِكَ أَمْسَيْنَا، وَ بِكَ أَصْبَحْنَا، وَ بِكَ نَحْيَا، وَ بِكَ نَمُوتُ وَ إِلَيْكَ المَصِيرُ
Allâhumma bika amsaynâ, wa bika, asbahnâ, wa bika nahyâ, wa bika namût, wa ilayka-l-masîr.
As-Sahîhah n° 262.
Mérite
Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) enseignait à ses Compagnons ceci : « Si l’un de vous parvient au matin qu’il dise : Ô Allah ! C’est par Toi que nous nous retrouvons au matin et c’est par Toi que nous nous retrouvons au soir… »
« Nous voilà au soir et le règne appartient à Allah. Louange à Allah, Il n’y a aucune divinité [digne d’être adorée] en dehors d’Allah, Seul, sans associé. À Lui la royauté, à Lui la louange et Il est capable de toute chose. Seigneur ! Je Te demande le bien que contient cette nuit et le bien qui vient après. Et je cherche refuge auprès de Toi contre le mal que contient cette nuit et le mal qui vient après. Seigneur ! Je cherche refuge auprès de Toi contre la paresse et les maux de la vieillesse. Je cherche refuge auprès de Toi contre le châtiment de l’Enfer et contre les tourments de la tombe. »
أَمْسَيْنَا وَ أَمْسَى المُلْكُ للهِ وَ الحَمْدُ للهِ، لاَ إِلَهَ إِلاَّ اللهُ وَحدَهُ لاَشَرِيكَ لَهُ، لَهُ المُلْكُ وَ لَهُ الحَمْدُ، وَ هُوَ عَلَى كُلِّ شَيْءٍ قَدِيرٌ، رَبِّ أَسْأَلُكَ خَيْرَ مَا فِي هَذِهِ اللَّيلَةِ وَ خَيرَ مَا بَعْدَهَا، وَ أَعُوذُ بِكَ مِنْ شَرِّ هَذِهِ اللَّيلَةِ وَ شَرِّ مَا بَعْدَهَا، رَبِّ أَعُوذُ بِكَ مِنَ الكَسَلِ وَ سُوءِ الكِبَرِ، رَبِّ أَعُوذُ بِكَ مِنْ عَذَابٍ فِي النَّارِ وَ عَذَابٍ فِي القَبْرِ
Amsaynâ wa amsa-l-mulku li-llâhi wa-l-hamduli-llâh. Lâ ilâha illâ llâhu wahdahu lâ sharîka lah, lahu-l-mulku wa lahu-l-hamd, wa huwa ‘alâ kulli shayin Qadîr. Rabbi, asaluka khayra mâ fî hâdhihi-l-laylah, wa khayra mâ ba’dahâ. Wa a’ûdhu bika min sharri mâ fî hâdihia-l-laylah wa sharri mâ ba’dahâ. Rabbi a’ûdhu bika min al-kasali wa sûi-l-kibar. Rabbi a’ûdhu bika min ‘adhâbin fi-n-nâri wa ‘adhâbin fi-l-qabr.
Sahîh Muslim n° 2723.
« Nous voilà au soir et la Royauté appartient à Allah, le Seigneur de l’Univers. Ô Allah ! Je Te demande le bien de cette nuit : ce qu’elle contient comme conquêtes, victoires, lumière, bénédiction et guidée. Je cherche refuge auprès de Toi contre le mal qu’elle contient et le mal qui vient après elle »
أَمْسَيْنَا وَ أَمْسَى المُلْكُ للهِ رَبِّ العَالَمِينَ، اللَّهُمَّ إِنِّي أَسْأَلُكَ خَيْرَ هَذِهِ اللَّيلَةِ، فَتْحَهَا، وَ نَصْرَهَا، وَ نُورَهَا وَ بَرَكَتَهَا، وَ هُدَاهَا، وَ أَعُوذُ بِكَ مِنْ شَرِّ مَا فِيهَا وَ شَرِّ مَا بَعْدَهَا
Amsaynâ wa amsâ-l-mulku li-llâhi Rabbi-l-‘âlamîn. Allâhumma innî asaluka khayra hâdhihi-l-laylah : fathahâ, wa nasrahâ, wa nûrahâ, wa barakatahâ, wa hudâhâ. Wa a’ûdhu bika min sharri mâ fîhâ wa sharri mâ ba’dahâ.
Sahîh Al-Jâmi’ n° 352.
« Ô Allah ! Tu es mon Seigneur. Il n’y a aucune divinité [digne d’être adorée] en dehors de Toi. Tu m’as créé et je suis Ton serviteur, je me conforme autant que je peux à mon engagement et à ma promesse vis-à-vis de Toi. Je cherche refuge auprès de Toi contre le mal que j’ai commis. Je reconnais Ton bienfait à mon égard et je reconnais mon péché. Pardonne-moi donc, en effet nul autre que Toi ne pardonnes les péchés. »
اللَّهُمَّ أَنْتَ رَبِّي لاَ إِلَهَ إِلاَّ أَنْتَ، خَلَقْتَنِي وَ أَنَا عَبْدُكَ، وَ أَنَا عَلَى عَهْدِكَ وَ وَعْدِكَ مَا اسْتَطَعْتُ، أَعُوذُ بِكَ مِنْ شَرِّ مَا صَنَعْتُ، أَبُوءُ لَكَ بِنِعْمَتِكَ عَلَيَّ وَ َأَبُوءُ بِذَنْبِي فَاغْفِرْ لِي فَإِنَّهُ لاَ يَغْفِرُ الذُّنُوبَ إِلاَّ أَنْتَ.
Allâhumma anta Rabbî, lâ ilâha illâ ant. Khalaqtanî wa ana ‘abduk, wa ana ‘alâ ‘ahdika wa wa’dika mâ stata’t. A’ûdhu bika min sharri mâ sana’t. Abûu laka bi-ni’matika ‘alayya wa abûu bi-dhanbî fa-ghfir lî, fa-innahu lâ yaghfiru-dh-dhunûba illâ ant.
Sahîh Al-Bukhârî n° 5947.
Mérite
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit que ceci est la demande de pardon par excellence et que celui qui prononcera dans la journée cette formule avec conviction puis mourra avant la nuit, sera parmi les gens du Paradis. Et que celui qui la prononcera la nuit avec conviction puis mourra avant l’aube sera [aussi] parmi les gens du Paradis.
« Ô Allah ! Je te demande le salut dans cette vie et dans l’au-delà. Ô Allah ! Je Te demande le pardon et le salut dans ma religion, ma vie, ma famille et mes biens. Ô Allah ! Cache mes défauts et mets-moi à l’abri de toutes mes craintes. Ô Allah ! Protège-moi par devant, par derrière, sur ma droite, sur ma gauche et au-dessus de moi. Je me mets sous la protection de Ta grandeur pour ne pas être enseveli. »
اللَّهُمَّ إِنِّي أَسْأَلُكَ العَافِيةَ فِي الدُّنْيَا وَ الآخِرَةِ، اللَّهُمَّ إِنِّي أَسْأَلُكَ العَفْوَ وَ العَافِيةَ فِي دِينِي وَ دُنْيَايَ وَ أَهْلِي وَ مَالِي، اللَّهُمَّ اسْتُرْ عَوْرَاتِي وَ آمِنْ رَوْعَاتِي، اللَّهُمَّ احْفَظْنِي مِنْ بَيْنِ يَدَيَّ وَ مِنْ خَلْفِي
وَ عَنْ يَمِينِي وَ عَنْ شِمَالِي، وَ مِنْ فَوْقِي، وَ أَعُوذُ بِعَظَمَتِكَ أَنْ أُغْتَالَ مِنْ تَحْتِي.
Allâhumma innî asaluka-l-‘âfiyata fi-d-duniyâ wa-l-âkhirah. Allâhumma innî asaluka-l-‘afwa wa-l-‘âfiyata fî dînî, wa dunyâya, wa ahlî, wa mâlî. Allâhumma stur ‘awrâtî, wa âmin raw’âtî. Allâhumma hfadhnî min bayni yadayya, wa min khalfî, wa ‘an yamînî, wa ‘an shimâlî, wa min fawqî. Wa a’ûdhu bi-‘adhamatika an ughtâla min tahtî.
Sahîh Abû Dâwûd n°5074.
mérite
Mérite
Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) ne délaissait jamais ces invocations, arrivé au soir ou au matin : « Ô Allah ! Je te demande le salut dans cette vie et dans l’au-delà… »
« Ô Toi le Vivant, Celui qui n’a besoin de rien et dont toute chose dépend, j’implore secours auprès de Ta miséricorde. Améliore ma situation en tout point et ne me laisse pas à mon propre sort ne serait-ce le temps d’un clin d’œil. »
يَا حَيُّ يَا قَيُّومُ بِرَحْمَتِكَ أَسْتَغِيثُ، أَصْلِحْ لِي شَأْنِي كُلَّهُ، وَ لاَ تَكِلْنِي إِلَى نَفْسِي طَرْفَةَ عَيْنٍ
Yâ Hayyû yâ Qayyûmu bi-rahmatika astaghîth. Aslih lî shanî kullah, wa lâ takilnî ilâ nafsî tarfata ‘ayn.
Sahîh At-Targhîb wa-t-Tarhîb n°661
« Ô Allah ! Connaisseur de l’invisible et de l’apparent, Créateur des cieux et de la Terre, Seigneur et Possesseur de toute chose, j’atteste qu’il n’y a aucune divinité [digne d’être adorée] en dehors de Toi, je cherche refuge auprès de Toi contre le mal de mon âme, contre le mal de Satan et de son polythéisme et contre le fait de me faire du mal à moi-même ou d’en faire à un musulman. »
اللَّهُمَّ عَالِمَ الغَيْبِ وَ الشَّهَادَةِ فَاطِرَ السَّمَاوَاتِ وَ الأَرْضِ رَبَّ كُلِّ شَيْءٍ وَ مَلِيكَهُ، أَشْهَدُ أَنْ لاَ إِلَهَ إِلاَّ أَنْتَ، أَعُوذُ بِكَ مِنْ شَرِّ نَفْسِي، وَ مِنْ شَرِّ الشَّيْطَانِ وَ شِرْكِهِ، وَ أَنْ أَقْتَرِفَ عَلَى نَفْسِي سُوءًا أَوْ أَجُرَّهُ إِلَى مُسْلِمٍ.
Allâhumma ‘Âlima-l-ghaybi wa-sh-shahâdah, Fâtira-s-samâwâti wa-l-ard, Rabba kulli shayin wa Malîkah. Ash-hadu an lâ ilâha illâ ant. A’ûdhu bika min sharri nafsî, wa min sharri-sh-shaytâni wa shirkih, wa an aqtarifa ‘alâ nafsî sûan aw ajurrahu ilâ muslim.
Sahîh At-Targhîb wa-t-Tarhîb n°661
Mérite
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Dis ceci arrivé au matin, arrivé au soir et lorsque tu rejoins ta couche. »
« Il n’y a aucune divinité [digne d’être adorée] en dehors d’Allah, Seul, sans associé. À Lui la royauté, à Lui la louange et Il est capable de toute chose. »
لاَ إِلَهَ إِلاَّ اللهُ وَحْدَهُ لاَشَرِيكَ لَهُ، لَهُ المُلْكُ وَ لَهُ الحَمْدُ، وَ هُوَ عَلَى كُلِّ شَيْءٍ قَدِيرٌ
Lâ ilâha illa-llâhu wahdahu lâ sharîka lah. Lahu-l-mulku wa lahu-l-hamdu, wa huwa ‘alâ kulli shayin Qadîr.
Sahîh Abû Dâwûd n°5077.
Mérite
Celui qui prononce cette invocation au matin aura la récompense de l’affranchissement d’un esclave de la descendance d’Ismâ’îl, de plus dix bonnes actions seront inscrites à son compte, dix péchés lui seront effacés, il sera élevé de dix degrés et sera protégé contre le diable jusqu’au soir. S’il prononce cette formule le soir il jouira des mêmes faveurs jusqu’au matin.
« Ô Allah ! Préserve mon corps. Ô Allah ! Préserve mon ouïe. Ô Allah ! Préserve ma vue. Il n’y a aucune divinité [digne d’être adorée] en dehors de Toi. Ô Allah ! Je cherche refuge auprès de Toi contre la mécréance et la pauvreté. Je me mets sous Ta protection contre les tourments de la tombe. Il n’y a aucune divinité [digne d’être adorée] en dehors de Toi. » (3 fois)
اللَّهُمَّ عَافِنِي فِي بَدَنِي، اللَّهُمَّ عَافِنِي فِي سَمْعِي، اللَّهُمَّ عَافِنِي فِي بَصَرِي، لاَ إِلَهَ إِلاَّ أَنْتَ. اللَّهُمَّ إِنِّي أَعُوذُ بِكَ مِنَ الكُفْرِ، وَ الفَقْرِ، اللَّهُمَّ إِنِّي أَعُوذُ بِكَ مِنْ عَذَابِ القَبْرِ، لاَ إِلَهَ إِلاَّ أَنْتَ .(ثَلاَثاً)
Allâhumma ‘âfinî fî badanî. Allâhumma ‘âfinî fî sam’î. Allâhumma ‘âfinî fî basarî. Lâ ilâha illâ ant. Allâhumma innî a’ûdhu bika min al-kufri wa-l-faqr. Wa a’ûdhu bika min ‘adhâbi-l-qabr. Lâ ilâha illâ ant.
Sahîh Abû Dâwûd n°5090.
« Ô Allah ! Préserve mon corps. Ô Allah ! Préserve mon ouïe. Ô Allah ! Préserve ma vue. Il n’y a aucune divinité [digne d’être adorée] en dehors de Toi. Ô Allah ! Je cherche refuge auprès de Toi contre la mécréance et la pauvreté. Je me mets sous Ta protection contre les tourments de la tombe. Il n’y a aucune divinité [digne d’être adorée] en dehors de Toi. » (3 fois)
اللَّهُمَّ عَافِنِي فِي بَدَنِي، اللَّهُمَّ عَافِنِي فِي سَمْعِي، اللَّهُمَّ عَافِنِي فِي بَصَرِي، لاَ إِلَهَ إِلاَّ أَنْتَ. اللَّهُمَّ إِنِّي أَعُوذُ بِكَ مِنَ الكُفْرِ، وَ الفَقْرِ، اللَّهُمَّ إِنِّي أَعُوذُ بِكَ مِنْ عَذَابِ القَبْرِ، لاَ إِلَهَ إِلاَّ أَنْتَ .(ثَلاَثاً).
Allâhumma ‘âfinî fî badanî. Allâhumma ‘âfinî fî sam’î. Allâhumma ‘âfinî fî basarî. Lâ ilâha illâ ant. Allâhumma innî a’ûdhu bika min al-kufri wa-l-faqr. Wa a’ûdhu bika min ‘adhâbi-l-qabr. Lâ ilâha illâ ant.
Sahîh Abû Dâwûd n°5090.
« J’agrée Allah comme Seigneur, l’Islam comme religion et Muhammad comme prophète. » (3 fois)
رَضِيتُ بِاللهِ رَبّاً وَ بِالإِسْلاَمِ دِيناً وَ بِمُحَمَّدٍ نَبِيّاً. (ثَلاَثاً.)
Radîtu bi-llâhi rabban wa bi-l-islâmi dînan wa bi-Muhammadin nabiyyâ. (3).
As-Sahîhah n° 334.
Mérite
Celui qui récitera cette invocation aura droit au Paradis.
« Il n’y a aucune divinité [digne d’être adorée] en dehors d’Allah, Seul, sans associé. À Lui la royauté, à Lui la louange, Il donne la vie et la mort et Il est capable de toute chose. » (10 fois)
لاَ إِلَهَ إِلاَّ اللهُ، وَحْدَهُ لاَشَرِيكَ لَهُ، لَهُ المُلْكُ وَ لَهُ الحَمْدُ، يُحْيِي وَ يُمِيتُ وَ هُوَ عَلَى كُلِّ شَيْءٍ قَدِيرٌ. (عَشَرَ مَرَّاتٍ)
Lâ ilâha illa-llâhu wahdahu lâ sharîka lah. Lahu-l-mulku wa lahu-l-hamd, yuhyî wa yumît, wa huwa ‘alâ kulli shayin Qadîr.
As-Sahîhah n° 2563.
Mérite
Celui qui récite cette invocation le matin, Allah lui inscrit pour cela dix bonnes actions, lui efface dix péchés, elle équivaut pour lui à l’affranchissement de dix esclaves et Allah le protége de Satan. Il en est de même pour celui qui la récite le soir venu.